La Compagnie Pourquoi se lever le matin, partenaire de l’APSE

Il a pratiquement un an, nous vous annoncions l’ouverture du blog de la Compagnie Pourquoi se lever le matin, qui apporte le point de vue du travail par celles et ceux qui le font.

Un an après, cette initiative à but non lucratif, soutenue par l’APSE à travers un partenariat, propose plusieurs centaines de récits sur son site internet, que nous vous invitons à visiter.

Comment la Compagnie se décrit-elle ?

Un bâtiment hospitalier ne soigne pas par lui-même. Une salle de classe n’enseigne pas. Les salades ne poussent pas toutes seules. Un train n’avance pas tout seul. De même, un produit ne se fabrique ni ne se vend, un colis ne se livre… qu’avec du travail humain, vivant. Nous avons créé La compagnie Pourquoi se lever le matin !  Une association à but non lucratif, crée le 1° mai 2020, pour apporter le point de vue du travail, exprimé par ceux qui le font, dans les débats qui agitent notre société : santé, alimentation, enseignement, transport, énergie … et bien d’autres encore.

Quelques exemples de récits proposés par notre partenaire :

• Des histoires de travail de soignants et d’usagers, mises en mots par la Compagnie avec les Ateliers pour la refondation du service public hospitalier et d’autres textes dans le dossier « prendre soin ».
• Quand depuis un an on invente des manières de faire du bon travail malgré la crise, même dans des métiers inattendus : une quarantaine d’expériences de travail à distance imposé par la crise sanitaire.
• « Crise sanitaire : et pourtant, on travaille » – La Compagnie donne la parole à ceux qui font… Et comme cela dure depuis un an, certains ont aussi écrit un post-scriptum.

Et avec l’APSE ?

Nous réfléchissons ensemble à une piste de projet commun à venir autour du thème « Travail et territoires », en explorant notamment :

• l’itinéraire domicile-travail,
• l’inscription du périmètre du lieu de travail dans la géographie physique et humaine du lieu et celle, mentale, du travailleur,
• le territoire intériorisé de l’œuvre réalisée ou en cours de réalisation : perception de tout ou partie de la finalité du travail réel en cours d’exécution,
• les conflits de territoire, les tensions entre corporations ou au contraire les collaborations sur un chantier à plusieurs acteurs,
• les regards des uns sur le travail des autres en termes de territoires d’activités,
• la question du genre dans les territoires professionnels culturellement « masculins » ou « féminins »,
• la mémoire des lieux, la mémoire du temps,
• les lieux marqués par l’histoire, les lieux emblématiques de l’histoire du travail.

Ce projet vous intéresse ? Vous aimeriez réfléchir avec nous ? Contactez-nous !